MOOC Compétences numériques et C2i : Usages du web

Le «Certificat informatique et internet» est un certificat national, délivré par les établissements d’enseignement supérieurs français, qui atteste de la maîtrise des compétences numériques nécessaires à la poursuite d’études et à l’insertion professionnelle. Il est en pleine évolution avec le développement de la plateforme PIX mais vous pouvez trouver des infos ici : https://c2i.enseignementsup-recherche.gouv.fr/

Le C2I couvre 5 domaines  (Les entêtes sont des liens vers 5 documents récapitulatifs, datés de 2011 et réalisés  par Nathalie Denos et Karine Silini) :

  • D1 : TRAVAILLER DANS UN ENVIRONNEMENT NUMÉRIQUE ÉVOLUTIF
  • D2 : ÊTRE RESPONSABLE À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE
  • D3 : PRODUIRE, TRAITER, EXPLOITER ET DIFFUSER DES DOCUMENTS NUMÉRIQUES
  • D4 : ORGANISER LA RECHERCHE D’INFORMATIONS À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE
  • D5 : TRAVAILLER EN RÉSEAU, COMMUNIQUER ET COLLABORER

Dans le cadre de ce C2I, France Université Numérique diffusait deux MOOCs « Documents dans le Cloud » et « Usages du Web ».  Je me suis inscrit à la dernière session des “Usages du Web” qui comportait 6 parties : Chercher et exploiter de l’information, Communiquer sur le Web, Organiser une veille en ligne, Contribuer au Web 2.0, Produire un document numérique à plusieurs, Appréhender les enjeux du numériques

Des raisons a cette inscription ? Evidemment pas pour acquérir des compétences : ce sont des sujets que je maîtrise, sur lesquels je travaille et que je transmet. Mais d’abord j’ai une sorte de complexe du diplôme et puis pour prouver ces compétences à quelqu’un qui est exclu des réseaux, c’est souvent plus facile de montrer un bout de papier que d’envoyer vers une liste de liens, travaux web, outils de collaboration et de communication.
Même si cela change et que, dans le domaine du numérique, on a bien compris que le “faire” exprime mieux le savoir faire qu’un diplôme (par exemple, l’appel d’offre de la Grande Ecole du Numérique qui demandait les pages LinkedIn des formateurs pressentis allait bien dans ce sens), on a encore affaire à de nombreux déconnectés dans nos univers de formation.

Tout ça pour dire que, même si j’en reconnais la valeur pour moins qualifié que moi,  je me suis vite ennuyé sur ce MOOC et que j’ai fait quelques questionnaires en dilettante sans même aller au bout.
Je viens pourtant d’y retourner, car FUN a cela de bien que l’on peut se replonger dans un MOOC où l’on était inscrit, et quelle n’a pas été ma surprise de voir que j’avais obtenu l’attestation. En effet, suite aux messages concernant des difficultés à finaliser le dernier travail en évaluation par les pairs, ils ont décidé de ne tenir compte que des 5 meilleures notes (sur les 6 modules)  et je me retrouve donc avec un taux de réussite de 70 %.

Moocusagesweb

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1 réponse

  1. 20 décembre 2017

    […] été une petite année par rapport à 2016 (même si les attestations des MOOC Classe inversée, usages du Web et innovation pédagogique sont arrivés en 2017) avec les MOOC Verdun et celui sur la transition […]

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