L’avenir de ma décision ? Complexe …
J’ai déjà dit ma difficulté à suivre un MOOC sur Coursera. Je suis inscrit à celui consacré aux Comics et je décroche essentiellement à cause de la langue et de la difficulté à mettre en place une stratégie palliative à mes difficultés : la traduction n’est pas si simple, elle demande du temps, trop de temps dans ce cas pour la plus-value attendue.
Une nouvelle possibilité va me permettre d’approfondir la plateforme : Je me suis inscrit au MOOC “L’avenir de la décision : connaître et agir en complexité” notamment à cause du principal intervenant : Edgar Morin, dont j’ai commencé à prendre la mesure du discours il y a bien longtemps maintenant : le jour de l’épreuve de Français du Bac, c’est dire ! Dans mes relations à la sociologie des pratiques culturelles, notamment locales et de masse, c’était un incontournable. Le retrouver abordant les MOOCs ne me paraît qu’une juste continuité et à (tenter de) suivre.
Au travers de ce MOOC que je considère juste pas du tout à ma portée dès le départ mais qui, comme (presque) tout MOOC n’a pas de pré-requis, je vais dans un premier temps, explorer et utiliser la plateforme COURSERA pour en voir les soucis et intérêts, puis me mettre à l’épreuve sur ce thème de la Complexité avec déjà quelques idées en tête notamment autour de la notion de territoires. De quoi vous raconter de nouvelles expériences MOOC.
Bonjour,
Je suis également inscrite à ce mooc instructif dont en effet quelques thématiques abordent le territoire. Bonne pioche car les fils de discussion sont nombreux et anarchiques, telle est la complexité. Je me demande d’ailleurs si cette “anarchie” n’est pas fait exprès pour expérimenter en grandeur nature la complexité dans sa création et son auto gestion. A suivre.
Merci de la réaction ici. Pour ma part, j’ai posé une problématique simple et contemporaine : Peut-on encore vivre à la campagne ? Cela ne crée pas de discussion visiblement. Le souci des MOOCs de ce genre, c’est qu’au départ, chacun se regarde et reste sur sa problématique personnelle, cela crée des fils parallèles sans croisements et, malgré l’appel à des problématiques “quotidiennes” et un nombre de vues conséquent, on voit que les fils qui se discutent sont surtout scientifiques. Actuellement la majorité des sujets posés font entre 1 et 3 réactions, pas de quoi en tirer des vues d’ensemble. Il faut dire aussi que les Forums Coursera ne sont pas simples à suivre sans table générale, pour preuve le sujet “Mieux se repérer dans les forums” qui poussent à suivre nos posts, les plus actifs et les plus commentés, ça oriente… Mais c’est sûr que, dans cette expérimentation et, en plus de ce que l’équipe pédagogique met à disposition, l’apport de chacun dans cet espace complexe peut vite générer de belles découvertes.